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L'OR
DU VATICAN
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"Le
pape accepta et ouvrit la porte à la spéculation sur les
monnaies et au jeu sur les marchés boursiers, ce qui comprenait
l'acquisition d'actions de sociétés dont les produits
n'étaient guère compatibles avec l'enseignement catholique.
Des articles comme des bombes, des chars d'assaut, des fusils, des contraceptifs
pouvaient bien être condamnés en chaire, les actions que
Nogara achetait pour le Vatican, représentant des sociétés
qui fabriquaient ces articles, contribuaient à remplir les coffres
de Saint-Pierre."
David
Yallop, Au nom de Dieu, 1984, p. 134.