PORTRAIT DE PIE XII

 

" Devant le récit de ce que l'on faisait aux juifs, Pie XI aurait fulguré. Pas Pie XII : ce n'était pas dans son tempérament ", reconnaît Robert Serrou, éminent " vaticaniste " et auteur d'une biographie de Pacelli, Pie XII.

L'Express, Pie XII et les nazis : le film choc, 21 février 2002, p. 12.

PIE XII : UN PAPE MYSTERIEUX

Le professeur Made de Marburg publia dans un numéro de "Christliche Welt" de l'année 1923, un rapport du père jésuite Ludwig Bonvin qui se base sur un témoignage authentique de dix ecclésiastiques.
" Le rapport dit que : "Le pape Pie X apparaît au Vatican. Il y a peu, dix prêtres allemands et autrichiens se trouvaient à Rome et devaient obtenir une audience chez le saint père Pie XI. Pendant qu'ils attendaient dans l'antichambre, la porte s'ouvrit et devant eux se tenait Pie X qui était mort depuis plus de neuf années. Tous les prêtres furent sans voix, car ils le reconnurent immédiatement. Il se tourna vers eux et leur dit : les temps malheureux vont encore durer deux ans !" là dessus il disparut.
Pendant que ces prêtres se trouvaient encore sous le choc de cette apparition, ils furent appelés dans le bureau privé du pape du moment, qui remarqua leur émotion et s'informa de la cause. Un de ces prêtres raconta ce qui venait de se produire. Le pape répondit alors d'un ton calme : "Il était donc à nouveau là !".
Non seulement le pape Pie XI voyait les apparitions de son prédécesseur, mais un esprit se fit passer pour le défunt Pie X à son futur successeur, Pacelli.
"Le 19 février 1939, une journée particulièrement remplie, Pacelli se rendit après une importante séance, dans son cabinet de travail pour vérifier quelques documents. Après cela, il prit son bréviaire et alla - comme poussé par une puissance - à nouveau dans son bureau qu'il ferma à clef, selon son habitude lors d'importantes occasions. Il faisait nuit noire et tout baignait dans un profond silence. On n'entendait que les pas des gardes suisses et les clapotis des deux fontaines de la place St Pierre.
Tout à coup la pièce de Pacelli fut illuminée - dans une brillante lumière qui augmentait en intensité - Pacelli vit la silhouette bien aimée et bien connue de Pie X en vêtement pontifical. Pie X alla vers lui : Pacelli fut très effrayé et ne put dire d'autres mots que "sainteté" !
Pie X lui dit : Oui mon cher fils, c'est moi ! Le tout-puissant m'a accordé l'extrême grâce de t'apporter la nouvelle. Dans peu de jours tu seras le nouveau représentant de notre seigneur Jésus-Christ sur la terre, comme autrefois je le fus.
D'effroyables événements vont bouleverser le monde pendant ton pontificat. Ton cœur saignera par d'inexprimables douleurs. Dirige avec une main vigoureuse le gouvernail de l'Église ! Le Tout-Puissant t'assistera et moi je veillerai sur toi. Tu vas être la seule consolation et la seule espérance de millions d'êtres humains, qui s'adresseront à toi plein de confiance. Ta parole bannira la tristesse, empêchera beaucoup de destructions, plus peut-être que ce que j'ai réussi à maîtriser. Ainsi en a décidé maintenant la Providence, comme par le passé: un autre serviteur de Dieu, mieux qualifier à tenir tête à la tempête qui va s'abattre sur l'humanité, dirigera son Église. Et ce serviteur de Dieu, ce sera toi, mon fils ! Dieu te bénisse !" Puis Pie X disparut.
Cette nuit Pacelli n'arriva pas à fermer l'œil. Le lendemain matin il se tint à 6 heures devant l'autel de Dieu, fit ses remerciements et descendit ensuite vers les grottes vaticanes, à la tombe de Pie X. De là, il alla à la tombe provisoire de Pie XI pour implorer aussi sa protection et son secours". B. Grabinski, Flammende Zeichen der Zeit, 2nde Ed., p. 173.

Les prédictions de cette apparition se sont exactement réalisées. Le nom "Providence" est remarquable. Adolf Hitler disait aussi très souvent qu'il était un instrument de la Providence. Il avait également des apparitions. Toutes les prédictions qui lui furent données s'accomplirent. Il fit l'annexion de l'Autriche, de la Bohème Moravie, de la Sarre, vainquit en Pologne et en France exactement comme les esprits le lui avaient prédit. Devant Stalingrad les informations s'arrêtèrent net. Il fut en détresse et finit par se suicider.
Pacelli fut élu pape et se nomma Pie XII. La guerre arriva comme annoncé. Des millions d'hommes et de femmes moururent dans les camps de concentrations. On reprocha au pape que pour des raisons politiques il garda le silence face à l'holocauste et qu'il ne s'opposa pas aux massacres.
" Ce qui est valable pour la première guerre mondiale l'est également pour la deuxième : logiquement et imperturbablement l'ensemble de l'Episcopat d'Autriche et d'Allemagne agirent tout le temps en faveur des puissances de l'AXE, dans "une fidélité absolue", il fut du côté des gouvernants et des dirigeants de l'Empire dont la politique criminelle avait enflammé ce conflit. Les paroles et les homélies de la plupart des ecclésiastiques théologiens catholiques, glorifièrent la guerre de toutes leurs forces. Le plus impliqué : Pie XII, "certainement plus impliqué que n'importe quel autre pape depuis des siècles"; indirectement et directement il est... manifestement empêtré dans les plus monstrueuses horreurs de l'ère fasciste et ainsi de l'histoire en général.
Bien qu'il prêcha constamment avec une monotonie d'automate "paix ! paix !" "Par ses évêques il laissa jusqu'en 1945 des millions et des millions de catholiques s'engager au service de la guerre et ainsi tuer d'autres catholiques (et non catholiques)".
L'épiscopat et la Curie se trouvaient sans aucun doute du côté des puissances de l'Axe, tandis que de nombreux membres du petit clergé dans tous les pays occupés, participaient activement à la résistance contre l'occupant allemand. A la fin de la guerre, en 1945, Pie XII tenta vraiment de brouiller ces faits... Jamais les évêques allemands n'avaient protesté contre le conflit provoqué par les Allemands, leurs plaintes concernaient uniquement la politique religieuse d'Hitler et les manquements au Concordat. Jamais ils ne s'opposèrent contre de nombreux milliers de meurtres de la justice sur leurs adversaires, contre l'élimination des libéraux, des démocrates et des communistes, ce qu'ils souhaitaient justement. Jamais les évêques ne protestèrent contre les agressions d'Hitler sur l'Autriche, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Danemark, la Norvège, la Belgique, la Hollande, la France, la Yougoslavie ou même l'Union Soviétique, une guerre qu'ils suivaient avec satisfaction. Jamais ils ne protestèrent contre les Pogromes juifs, contre la destruction de plus de deux cent synagogues, contre la déportation et le gazage des juifs, que leur Église avait martyrisés et tués pendant quinze siècles. En fin de compte, ils ne protestèrent jamais contre le système nazi". Karlheinz Deschner, Kirche und Krieg, 1970, p. 471.

En Espagne également, le Vatican avait soutenu le Général Franco dans la lutte contre le gouvernement socialiste voté par le peuple. Six cent mille Espagnols perdirent la vie dans ce combat. Deux cent milles furent fusillés par les fascistes de 1939 à 1942. A côté du pape, Hitler et Mussolini fournirent leur aide dans cette croisade chrétienne.
Le 1er Avril 1939, Pie XII félicita le Caudillo pour l'écrasement du gouvernement en Espagne lors de la guerre civile en déclarant : "Pendant que nous élevons nos cœurs vers Dieu, nous nous réjouissons avec votre excellence de cette victoire que l'Église catholique a tant souhaitée". Karlheinz Deschner, Kirche und Krieg, 1970, p. 470.

Les énormes fautes commises par Pie XII furent-elles la conséquence des conseils qu'il avait obtenus par le soi-disant esprit de Pie X ? Les morts pouvaient-ils vraiment apparaître ?
Cette question a été très sérieusement vérifiée dans diverses Universités. Pendant trente-cinq ans le professeur Rhine conduisit les expériences avec plus de vingt médiums spirites pour vérifier si les morts peuvent apparaître. La méthodologie employée lors de ces expériences fut tellement sérieuse, que des erreurs et des tromperies furent totalement exclues. Le résultat fut clair. Il n'existe aucune preuve malgré les affirmations contraires des spirites.
H. Garland fit des recherches pendant quarante ans avec les mêmes méthodes fiables et en vint au même résultat. Corlius Lamont, le psychologue William James, George Whitehead, Pr. Hyslop, Pr. Gebhard Frei, Pr. Wilhelm Wundt, Pr. Bender à Fribourg, Dr. Tischner, Dr. Moser, Pr. Ostermich à Tübingen, Dr. Lechler à Frankfort, Dr. Kurt Koch et d'autres confirmèrent ce résultat.
Dans le monde entier, il existe plus de vingt parapsychologues universitaires. Le résultat fut partout le même. Les morts ne sont pas apparus, et ils ne peuvent pas apparaître, car ils sont réellement morts.

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